CRITIQUE – Ce dernier volet d’un triptyque respire la poésie enchanteresse.
Les distributeurs de films pour enfants manquent d’imagination. Ils attendent invariablement les vacances scolaires pour sortir les longs-métrages destinés à une tranche d’âge qui représente les cinéphiles de demain et qui reste ignorée le reste de l’année. Cette concentration, aggravée par le Covid et la fermeture des salles durant de longs mois, voit déferler ce mercredi une ribambelle de productions pour les moins de 10 ans. Outre Le Trésor du Petit Nicolas , Ron débloque, Zébulon le dragon et les médecins volants, Oups! J’ai encore raté l’Arche… et Le Peuple loup débarquent sur les écrans. Ce dernier aurait dû sortir il y a un an. La pandémie a reporté sa diffusion mais il n’est pas trop tard pour profiter de sa splendeur visuelle et de sa poésie enchanteresse sur un grand écran.
Nature fabuleuse
Le Peuple loup est le dernier volet d’un triptyque sur le folklore irlandais, après Brendan et le secret de Kells et Le Chant de la mer. Tomm Moore, cette fois avec l’aide du coréalisateur Ross Stewart, met
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