CRITIQUE – Les deux anciennes figures du Splendid sont au théâtre à Paris dans deux pièces qui traitent du même sujet : la vie des gens aisés. La première dans Un chalet à Gstaad et la seconde dans La famille et le potager . Deux histoires ennuyeuses et bâclées.
Nous avons pu observer, sans être trop perspicaces, qu’il y a sur les grands boulevards deux pièces respectivement interprétées par deux femmes du Splendid et pas des moindres : d’un côté, au Théâtre des Nouveautés Un chalet à Gstaad, de et avec Josiane Balasko (1), de l’autre, presque en face, au Théâtre des Variétés La Famille et le potager, avec Marie-Anne Chazel (2). Tous les soirs, une foule piaffe dans l’espoir de passer une bonne soirée. Vous pensez, Josiane Balasko ou Marie-Anne Chazel, toute une époque ; la Nathalie ou la Gigi des Bronzés, la Mme Musquin ou la Zézette du Père Noël est une ordure en chair et en os, ça ne se rate pas. Bref, on allait voir ces deux pièces, la fleur au fusil, et nous en sommes ressortis abasourdis, affligés de migraines.
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Tout d’abord, le contexte : il s’agit dans les deux cas d’une histoire de gens aisés, de familles bien riches et, comme on le sait, la vie des nantis n’est pas un long fleuve tranquille, elle est source de rocambolesque. Ensuite,
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