DÉCRYPTAGE – Succès honorable pour la 47e édition de la foire internationale d’Art Contemporain qui a fermé ses portes dimanche. Les 171 exposants de 25 pays réunis au Grand Palais éphémère croient en la fin de la crise, avec le retour des acheteurs et des ventes solides.
Cette 47e édition de la Fiac (Foire Internationale d’Art Contemporain) était la manifestation que tout le monde attendait pour affirmer haut et fort que la crise est bel et bien derrière nous. Voilà le marché rassuré, malgré un certain manque de standing. Il a retrouvé son énergie, dans un climat moins euphorique qu’avant la pandémie mais extrêmement affairiste, parfois compulsif, à en juger par les nombreuses ventes chez les 171 exposants réunis sous la voûte marine du Grand Palais éphémère. Jusqu’aux dernières minutes, avant la fermeture dimanche soir, 19 heures, où il y avait foule. Ceux qui n’étaient pas déjà partis en week-end ou simplement ailleurs, «comptaient concrétiser d’autres ventes dans la semaine et les suivantes, après avoir rencontré de nouveaux clients français et même étrangers. Quelques Asiatiques, surtout des Coréens et des Chinois de la diaspora, venus braver la quarantaine». Le signe d’une foire réussie, contre vents et marées.
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