Publié le 01/11/2021 à 11:06
, mis à jour
à 11:41
l’essentiel
Les chefs d’Etat et de gouvernement du G20 se sont réunis à Rome, en Italie, samedi 30 et dimanche 31 octobre. Avant de rejoindre Glasgow (Ecosse), où a débuté la COP26, ils ont notamment abordé la question du climat. À la fin de ce week-end, les dirigeants ont pris la pose devant la Fontaine de Trévi…l’image ne passe pas.
Traditionnellement, jeter une pièce dos à la Fontaine de Trévi assure de revenir à Rome. Et dimanche 31 octobre, les dirigeants des 20 pays les plus puissants au monde se sont pliés à la coutume. De quoi susciter l’indignation sur Twitter et notamment de l’économiste et ancienne candidate à la primaire présidentielle d’EELV Sandrine Rousseau… mais tout est parti d’une mauvaise interprétation du geste.
L’indécence
Notre avenir ne se joue pas sur la chance mais sur des politiques publiques ambitieuses, radicales, sans concession aux lobbies hostiles.
Ces politiques dont vous avez la charge … #COP26 https://t.co/AodhDPDUAA
— Sandrine Rousseau (@sandrousseau) November 1, 2021
« L’indécence. Notre avenir ne se joue pas sur la chance mais sur des politiques publiques ambitieuses, radicales, sans concession aux lobbies hostiles. Ces politiques dont vous avez la charge … » écrit-elle sur Twitter. On peut lire aussi « Grand symbolisme pour leurs politiques : jetez de l’argent dessus et voyez ce qui se passe. »
Great symbolism for their policies: throw some money at it and see what happens.
— Mick (@MickClm) October 31, 2021
Problème, comme l’a expliqué le G20, lancer une pièce dans la fontaine n’est pas gage que le vœu se réalise, mais de revenir dans la Ville Eternelle. La légende dit qu’il faudrait jeter deux pièces en formulant un vœu pour que celui-ci soit exaucé.
